Un quiz, ça vous tente ?
Petit quiz pour vous partager cette journée « magique ». Les réponses sont dans l’article 😉
- Quelle ruche a sa place au sein des produits locaux ?
- Quel animal aime parcourir les allées de la jardinerie ?
- Que pouvez-vous manger si vous aimez l’iode, mais pas les huîtres ?
- Qu’est-ce qui pourrait faire de vous un meurtrier ?
- Qui a hérité des pouvoirs de Merlin l’enchanteur ?
- Quelle anecdote aime raconter Annie ?
Culture pour le jardin et pour l'esprit
3ème génération pour cette jardinerie familiale
Dimanche 21 avril 2024, j’étais accueillie pour une séance de dédicaces au sein de la jardinerie Delhommeau.
Cet établissement, situé au 4 Rue de la planchette à Héric (44810), ouvrait ses portes du vendredi au dimanche, et Anthony Delhommeau, le gérant m’a gentillement proposé de venir dédicacer mes romans de développement personnel sur la dernière journée.
La jardinerie propose bien évidemment tous les articles associés au jardin (plantes, arbustes, terrain, habillement, outillage), mais également des animaux (lapins, poissons, oiseaux, souris, poules…) ainsi que des produits locaux et bretons. Vous pourrez notamment y trouver le miel de la ruche Piquet (Sorbay, 44810 Héric).
Je vous invite à venir échanger avec toute l’équipe de la jardinerie Delhommeau. Pour cette entreprise créée en 1957, avec trois générations successives, la famille et l’humain sont des valeurs fortes. Vous les retrouverez dans l’accueil, le conseil et les sourires de tous ceux qui y travaillent (et ceux qui n’y travaillent plus !). Même les chats aiment se balader dans les allées !
Lors de la journée portes-ouvertes, les clients ont pu boire un verre et se restaurer avec des petits gâteaux. L’ambiance était à la bonne humeur, ce qui compensait largement le temps un peu grisâtre.
Des dédices pour la culture de l'esprit
Il y avait du monde lors de cette journée portes-ouvertes ! J’ai pu échanger avec de nombreuses personnes, sans parler de « vieilles connaissances » (mais je m’en voudrais qu’elles croient que je parle de leur âge !).
J’ai donc eu la joie de partager un moment avec Patricia Profault (artiste peintre et écrivain) qui va voir l’un de ses livres publiés prochainement.
J’ai aussi revu Viviane (une lectrice rencontrée lors du Printemps des artistes héricois) et Isabelle (une bénévole de la médiathèque d’Héric). Merci aussi à Bernadette, à Nelly et Philippe, à Géraldine, à Catherine et à Jean-Paul et Annie d’avoir pris un moment pour discuter littérature et plantes.
Quelques anecdotes découvertes lors de cette journée
Philippe, un cousin de Merlin (l’enchanteur ?!), était surpris de ne pas entendre de musique d’ambiance en arrivant. Quelques secondes après, des notes s’égrenaient dans les hauts-parleurs (parmi les chansons, nous avons pu entendre « Je vous souhaite tout le bonheur du monde » – j’aime les synchronicités…). Les oreilles contentées, Philippe a demandé s’il y avait de quoi boire. Un demi-tour et quelques pas pour profiter du bar juste à côté et le tour était joué ! La magie doit être dans sa famille depuis longtemps… Et en parlant de Merlin, j’en profite pour vous rappeler que mon texte « Coeur en ruine » qui parle de la fée Viviane et de sa relation avec Merlin l’enchanteur, est paru dans l’anthologie « Ruines – 17 auteurs, 17 textes » que vous pouvez commandez en cliquant ici : https://livres.sophieherrault.fr/anthologie-ruines/
Elles vous combleront de bonheur si vous les caressez, ce sont les poules de luxe. Ne tombez pas dans la grivoiserie, c’est l’autre nom des poules de soie, ainsi appelées en raison de leur plumage soyeux. Même si elles pondent quelques œufs, elles sont plutôt recherchées pour leur esthétisme. Annie raconte d’ailleurs en riant que les hommes courent après les poules tant qu’ils sont jeunes, mais passé un certain âge, ils finissent par courir après les cannes !
Une information d’une importance vitale concernant les plantes carnivores. Elles sont à la mode, elles amusent, mais elles ne vous débarrasseront pas des mouches qui envahissent nos maisons lorsque les températures augmentent. Tout au plus une de temps en temps ! Si jamais, vous y mettez les doigts, elles ne vous le mangeront pas ! Certes non, mais par contre, elles n’auront plus d’énergie par la suite pour attraper leurs proies et risquent de mourir d’épuisement. Vous pourriez passer à un doigt d’être l’auteur d’un meurtre…
Et pour finir une question culinaire : que pouvez-vous manger si vous aimez l’iode, mais que vous êtes allergique aux coquillages ? Il suffit de goûter aux feuilles de la plante huitre. J’ai testé et c’est absolument délicieux en salade. A découvrir aussi dans cette jardinerie.